Battements oniriques du Levant : de la contemplation naît la transe.
Mêlant la voix au violon alto ainsi qu'à la flûte et au M.A.O, le projet nous transporte à bord d'une métaphore acoustique électrOrientale.
Avec ce solo dense et intimiste, Dïak nous plonge dans un univers musical envoûtant ; dans une fresque vocale aux pigments sonores venus d’Orient.
Armée de ses mots en français, en langage imaginaire ou en langues orientales, elle compose un antidote singulier à ce qui nous échappe.
Un espace de liberté à la fois Hors-corps propre à la contemplation, la méditation et En-corps inhérent à la danse, à la transe.